Les radicaux libres face aux EM

Les radicaux libres sont, grossièrement parlant, des espèces chimiques instables et très réactives, à la durée de vie très brève (environ un millionième de seconde à dix millionièmes de seconde), qui ont perdu ou gagné un électron (sorte de bras qui joint les molécules entre elles).

Comme les radicaux libres ont besoin d’un autre électron pour se stabiliser, car ils vont toujours par paire, ils vont chercher éperdument une âme sœur pour s’y accrocher. Le problème est qu’en s’attachant, par un effet de boule de neige dévastateur, ils vont désorganiser des molécules biologiquement stables qui deviennent à leur tour des radicaux libres et ainsi de suite…

Leur penchant irrésistible et incontrôlable à se combiner avec d’autres éléments de manière non sélective, pour former des composés chimiques appelés peroxydes, déclenchent des processus de détérioration irréversibles qui conduiraient à des nombreuses maladies (Alzheimer, athérosclérose, cataracte, cancer, Parkinson…) et au vieillissement prématuré et accéléré.

De nombreuses données cliniques montrent que vieillissement et oxydation vont de pair, tous nos tissus ayant tendance à s’oxyder au fil des ans à cause de l’affaiblissement de nos enzymes antioxydants intrinsèques

Il faut savoir que, majoritairement, les radicaux libres sont engendrés quotidiennement et de façon régulière par les processus normaux métaboliques (production d’énergie, réactions de détoxification, mécanismes de défense).

De même façon que l’oxygène provoque la corrosion du fer, les radicaux libres s’attaquent aux cellules en les oxydant, en rouillant en quelque sorte leurs mécanismes délicats, ce qui va accélérer l’usure des organes. Ils vont déclencher de nombreux bouleversements biochimiques extrêmement dommageables. Cette nocivité résulte de leur capacité à s’accrocher en particulier aux molécules d’acides gras polyinsaturés, d’acides nucléiques (ADN), d’acides aminés, de lipoprotéines, de glucides, etc. qui voient ainsi leurs propriétés se modifier. Ces transformations provoquées par l’oxydation moléculaire pouvant être soit modérées et transitoires, soit importantes et irrémédiables, ce qui conduit inévitablement à la mort de la cellule.

Nous avons déterminé que les radicaux libres étaient à l’origine de nombreuses maladies.

Mais quel est leur vrai visage ?

Nous respirons de l’oxygène pour vivre. Cet oxygène, dont nous avons besoin, est véhiculé dans toutes les parties de notre organisme par les globules rouges. Les substances nutritives, qui nous sont apportées par notre alimentation, se combinent avec l’oxygène grâce à une réaction chimique : c’est l’énergie qui fait fonctionner nos cellules. Et là se forme des radicaux libres qui représentent 2 % de l’oxygène respiré.

Si l’oxygène est bénéfique, pourquoi les radicaux libres sont-il nocifs ?

Parce qu’il y a un principe actif intrinsèque qui oxyde les substances qu’il rencontre. Ce facteur assiste les globules blancs dans la recherche et l’élimination des agents pathogènes. Dans ce cas, les radicaux libres sont d’un grand secours. C’est pareil avec des médicaments. En cas de maladie, il se forme un peu de radicaux libres. L’ématoporphyrine, par exemple, est une substance fluorescente que l’on retrouve, après injection, dans les cellules cancéreuses. Surtout dans les cas de cancer de l’utérus, on la retrouve en quantité dans le col de l’utérus.

Si on bombarde avec des rayons laser les cellules marquées, on produit des radicaux libres qui détruisent les cellules cancéreuses. Dans ce cas, les radicaux libres jouent un rôle positif. Dans beaucoup d’autres cas, ils causent des dommages à l’organisme en détruisant, ou du moins en perturbant, les cellules saines. Les radicaux libres se forment à l’intérieur des cellules. Les éléments cellulaires de production d’énergie sont les mitochondries.

Les éléments nutritifs se combinant avec l’oxygène, il y a production permanente d’énergie sous forme de glucose. Ensuite il y a formation d’ATP (adénosine triphosphate) qui va être convertie en énergie directement à l’intérieur des cellules. L’être humain a besoin d’énergie, tout au long de sa vie, et c’est pour cela qu’on fabrique en permanence des radicaux libres.

Ces radicaux libres produits par les mitochondries sont tellement puissants qu’ils agressent les gênes à l’intérieur des cellules et peuvent ainsi déclencher de nombreuses maladies comme le cancer. Les radicaux libres se combinent avec des acides gras insaturés pour former des lipidopéroxydes et on sait que ceux-ci accélèrent le vieillissement, provoquent des attaques cérébrales, des maladies cardiovasculaires et des maladies liées à la vieillesse.
Naturellement, le corps humain possède des mécanismes de défense pour se protéger des dangers des radicaux libres.

Ce sont d’abord les enzymes antioxydantes. Quand la production des radicaux libres est très importante, les enzymes corporelles ne suffisent plus pour le détruire. Dans ce cas, on fournit à l’organisme des antioxydants par l’intermédiaire d’une alimentation saine. Par exemple les vitamines C, E, des bétapolyphénols.

Cet apport extérieur peut être difficilement assimilé par l’organisme. Des substances au poids moléculaire élevé ne peuvent pas être complètement assimilées par le système digestif. Les substances au poids moléculaire de plus de 5 000 unités ne le sont pas du tout. Par exemple, les flavonoïdes, dont nous avons déjà parlé, font partie des 3 000 colorants présents dans les feuilles des plantes. Lors d’une combinaison avec les protéines, ils peuvent atteindre un poids moléculaire de 20 000 unités et ainsi, ils ne sont plus assimilables. Comme les bétacarotènes, que l’on trouve dans les carottes, le potiron, les algues, ont un poids moléculaire inférieur à 500 unités, ils peuvent être assimilés par l’organisme, à une certaine concentration seulement.

Les polyphénols, que l’on trouve dans le thé et les graines de sésame, possèdent des antioxydants extraordinaires mais leur assimilation est relativement limitée.

Cela veut dire que l’alimentation procure la quantité d’antioxydants nécessaires, mais ceux-ci ne peuvent pas être assimilés en totalité par l’organisme. L’assimilation, en grandes quantités, d’antioxydants n’est possible qu’avec l’EM-X. Si l’organisme produit des radicaux libres en permanence, les forces antioxydantes devraient atteindre un niveau suffisant pour que l’organisme ne subisse pas de dommages et conserve la santé. La lutte entre la maladie et la santé est fonction de l’équilibre entre les radicaux libres et les antioxydants. Le plus important gagne.
D’un point de vue médical, toutes les maladies découlent de l’oxydation de l’organisme. Suivant cette théorie, il devrait être possible, avec l’emploi d’antioxydants, d’empêcher l’oxydation ou de diminuer ses effets, et ainsi prévenir les maladies pour conserver la jeunesse et la santé. Selon la science actuelle, l’EM-X est le plus puissant des antioxydants connus à ce jour.

Source : Paule Daudier Les Radicaux libres, Dr. Shigeru Tanaka EM-X, La Puissance des antioxydants au service de la santé
       

 

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